J'écoute Bhangra bros, de Firewater, sur l'album The golden hour.
mardi 26 juin 2012
Et une petite image, une !
Par OG374-GANDI le mardi 26 juin 2012, 14:09 - Trucs en vrac
mardi 26 juin 2012
Par OG374-GANDI le mardi 26 juin 2012, 14:09 - Trucs en vrac
J'écoute Bhangra bros, de Firewater, sur l'album The golden hour.
lundi 4 juin 2012
Par OG374-GANDI le lundi 4 juin 2012, 11:46 - Trucs en vrac
vendredi 13 avril 2012
Par OG374-GANDI le vendredi 13 avril 2012, 15:02 - Avancement des travaux
Pour le projet en cours 1024!, les prises de vues sont finies depuis une semaine,
de l'image A1, la première en haut à gauche,
à la AG 34, la dernière en bas à droite.
Et donc chaque image a été rephotographiée, pour une quatrième génération, la première en numérique. Pour des résultats très variés en fonction des couleurs de l'image originale, de parfaitement juste :
à très décevant (par rapport à l'image de base, en terme de fidélité chromatique) :
C'est dû au capteur du boîtier qui a beaucoup de mal avec le rendu des rouges et des couleurs en contenant. Non pas des « rouges de lumière incidente », comme un objet qui est rouge parce qu'il absorbe les longueurs d'onde de la lumière inférieures à 600 nanomètres, et donc renvoie par réflexion les longueurs d'onde supérieures par exemple, mais les rouges de lumière, comme quand un filtre rouge est placé devant une source de lumière blanche (ou du moins à large bande passante) : notre œil voit une couleur, mais l'appareil en montre une toute autre. C'est le même phénomène qu'en photo de scène : les rouges sont cramés, les violets profonds deviennent bleu clair, les ambres devient jaunes, beuark !
mercredi 21 mars 2012
Par OG374-GANDI le mercredi 21 mars 2012, 19:13 - Avancement des travaux
Donc, si vous suivez bien, nous avons des reproductions pour une seconde
générations d'images qui m'ont donné des films avec des négatifs issus de
diapositives, une seconde campagne de reproductions
pour une troisième génération qui m'ont donné des négatifs de négatifs,
soit, des positifs, que je me suis empressé de figer dans de la résine, la quatrième
génération est née peu après, nous avons donc des négatifs 4 x 5" (10 x
12,5 cm), que je reproduit à nouveau, mais cette fois, en format 135 (24 x 36),
c'est quand même mon format de prédilection, et puis c'est aussi dans ce format
que j'ai le plus de possibilités de dérives chromatiques, du fait d'un choix
important dans mes tiroirs. On va donc commencer avec 25 émulsions différentes,
aux dates de péremption allant de mai 1999 à avril 2013, ça devrait faire de la
variété...
Les premiers tests donnent bon espoir :
Pour moi qui ai un certain goût pour la macro et microphotographie, le kiloptyque de 125 cm de large qui passe à :
7,5 mm (167 fois plus petit ;o), ça laisse entrevoir des possibilités rigolotes...
PS : Faites attention, si vous adoptez un kiloptyque, ça se reproduit à toute vitesse, ces bêtes là !
mardi 20 mars 2012
Par OG374-GANDI le mardi 20 mars 2012, 10:55 - Bricolages
J'ai besoin de pouvoir rephotographier le kiloptyque image par image à nouveau, pour une quatrième
génération
des 1024 images. Là impossible évidemment d'utiliser le soufflet avec un
reprodia, le film étant pris dans la résine, mon
problème s'apparente à une prise de vue macro classique, à refaire quand même
un certain nombre de fois...
Et le souci, avec la macro c'est la mise au point (bon, en photo, en règle
générale, mais c'est vraiment très sensible en macro), quand on est au rapport
un sur deux, voire un sur un, il
faut un bon trépied solide, et un banc d'approche pour un confort optimal. Les
premiers essais faits à main levée m'ont bien convaincu de l'impossibilité
d'avoir un travail propre de cette manière, un trépied solide, à déplacer
latéralement ne pose pas de grands problèmes, mais il faut rester le plus
possible perpendiculaire, et ça, c'est bien moins facile. Et puis le réglage
d'altitude ne se fait jamais non plus aisément...
À main levée, déjà, ce n'est pas parfaitement droit, et puis vraiment
beaucoup de déchets pour un résultat final approximatif.
Je me suis donc décidé à une fois de plus résoudre un problème en m'en
créant pleins de nouveaux ;o).
C'est la raison de du calme régnant ici ces derniers temps, l'apprentissage
de la mécanique, c'est long, surtout si on a besoin d'un peu de
précision.
La suite en images :
Déjà,
le choix du matériau, le PMMA, c'est joli, facile à usiner, lourd (et plus
c'est lourd, plus ça absorbe mieux les vibrations préjudiciables à la netteté
de l'image), et puis j'en ai en stock (ce qui est aussi une très bonne raison,
phynancière, celle là).
la
valeur d'écartement des rails a été choisie arbitrairement, par rapport à la
taille de mes chûtes de PMMA.
Une
première version du système de roulement (en tôle) montée sur le chariot, àvec
à gauche le système final, plus précis. À droite, la partie supérieure qui doit
1/ permettre un réglage de mise au point par mécanisme du genre à queue
d'aronde et 2/ une possible rotation par rapport à l'axe de déplacement des
roues (pour cette application là, ce n'est absolument pas indispensable, mais
ça pourrait être utile à l'avenir.
Détail
de la queue d'aronde pendant l'assemblage du sandwich de PMMA qui servira de
base à l'appareil.
Un
système par serrage fixe les deux paires de roues permettant le réglage fin du
parallélisme.
Premiers essais de roulement, ça fonctionne !
Je
peaufine avec un mécanisme sécurisant le chariot par des roulettes
supplémentaires de part et d'autre venant appuyer par en dessous du rail, plus
aucun risque de basculer.
Le
voilà enfin prêt, avec sa petite platine de fixation rapide
Velbon.
Le
voilà en action (enfin presque, l'appareil est normalement posé dessus, mais
là, je l'avais en main), ça reste très fastidieux, mais quand même bien plus
rapide que si j'avais du le faire à la main, et puis trèèès stable. Encore
quelques petites améliorations à y apporter et ce sera parfait (un rail
supplémentaire en dessous pour assurer la portance et ne pas avoir de flèche au
milieu , et... une petite motorisation ça serait vraiment
chic !)
Une petite idée de ce que ça donne comme résultat (bin oui, c'est rigolo de faire joujou avec des vis et des boulons, mais faut quand même que ça serve.
mardi 17 janvier 2012
Par OG374-GANDI le mardi 17 janvier 2012, 10:30 - Avancement des travaux
Juste un mot pour signaler un article que j'ai publié sur le site cuk.ch sur le sujet qui me tient à cœur en ce moment, à savoir le Kiloptyque : Faire part de naissance : kiloptyque, « Ciel à la fenêtre II ».
mardi 10 janvier 2012
Par OG374-GANDI le mardi 10 janvier 2012, 17:21 - Trucs en vrac
mardi 3 mai 2011
Par OG374-GANDI le mardi 3 mai 2011, 19:40 - Matières
La premier prototype de kiloptyque était
satisfaisant du point de vue de l'idée générale, ça tenait debout, mais
vraiment pas abouti pour ce qui était des finitions, ni dans la conception même
de l'objet (qui il faut l'avouer n'était pas conçu, juste réalisé à
l'arrache).
Le principal problème, c'était la fixation des 32 films. Avec la chaleur, les plaques de PMMA (Altuglass ou
Plexiglass sont des noms commerciaux du Polymétacrylate de méthyle) de 2 mm
d'épaisseur, une transparente devant, et une translucide derrière prennent du
ventre, dans un sens ou dans l'autre, beaucoup trop souple pour une surface
pareille. Du coup, les films qui ne sont maintenus que
sur les côtés, par leurs extrémités , se mettent à pendouiller en leur milieu.
Et ça va en s'accentuant avec le temps (la détérioration est très rapide, 24
heures suffisent à un effet déplorable). On m'a suggéré le verre, bien rigide,
mais, pour une surface de 143 cm², il faut une épaisseur significative, et
c'est très lourd, cher, et fragile : non !
Je ne sais pas pourquoi, bloqué pendant plusieurs mois par ce souci de
construction, j'en suis venu à l'idée de couler les films dans de la résine d'inclusion. Là, c'était sûr qu'ils n'allaient
plus bouger, attirés par la gravité. Bien sûr, en résolvant un problème simple
par une technique que je ne maîtrise pas du tout, je me trouve confronté à tout
plein de nouveaux problèmes.
J'ai la chance de fréquenter un établissement d'enseignement dans lequel, justement, le savoir qui me fait défaut dans ces pratiques, est parfaitement maitrisé par des collègues, que j'ai abondement questionnés. En plus de quelques heures de lecture de documentation absconse (pour moi qui ne suis pas chimiste) et de surf internet, j'étais prêt à me lancer. J'ai donc commandé un pot de résine Polyester pour couler quelques kvardekduptiks pour me faire la main :